Un rite des morts et des renaissances. Le flot des vies jaillit du corps morcelé, ensorcelé de Zoartoïste dans les éclats des miroirs. « Zoartoïste… prononce une voix de noyé dans un rêve, c’est le nom d’une divinité animale du monde archaïque ou d’un démiurge industrieux dans la dent creuse d’une caverne tellurique. Les esprits s’agitent et vitupèrent autour des dormeurs dans le vacarme de la mort. Arto l’autiste rase les murs dans un abîme de sons. »
Tapage des miracles, tourbillon des rêves, des sons, des sens, de la jouissance du langage, de l’érotisme des corps, des désirs de mort, de l’humour grinçant des dents noires de geisha.